c'est pas moi mais grand massif qui le disait, mais d'accord avec vous !tout a fait Dom,
la DSP coté Morillon est récente, et au delà de ce qu'il y a dedans, c'est le dialogue qui s'installe ensuite qui est important, et sur Morillon de ce coté il y eu pire.
au plaisir aussi !j'espere que pour toi la saison c'est bien passée, au plaisir de te croiser prochainement
Le sujet de la fin de saison, marronnier du forum et des discussions d'avril, est plus complexe qu'il n'y parait (et encore plus cette année avec un contexte qui apporte de nouvelles contraintes).
La structuration du Grand Massif en général, et celle coté Giffre en particulier est très complexe : il n'y a pas de solutions binaires simples et une multitude d'intervenants, publics, semi-publics, associatifs, privés...
Mettre tout cela en musique n'est pas simple dans un contexte d'évolution des attentes et comportements touristiques, de bouleversements liés au changement climatique en cours et à venir.
Si l'exploitant des remontées est un acteur majeur et cristallise donc, parfois justement, parfois injustement, l'essentiel des critiques (quand ça va bien, c'est moins visible) si l'on veut aller vers une évolution favorable de l'accueil touristique à partir du 15 mars environ (on est d'accord, il y a en ce moment des choix révoltantes), il y a une remise en cause qui va bien au delà des seules remontées mécaniques. Si on veut une dynamique favorable sur cette période, ce n'est pas que sur cet acteur qu'il faut compter.
notre offre touristique n'est plus adaptée aux attentes des gens qui sont là en avril, et encore moins à celles de ceux qui pourraient venir et qui pourraient être tentés par le formidable potentiel que l'on pourrait porposer.
L'offre de ski de printemps ne peut pas être la même que l'offre ski de février, et ne peut se suffire à elle-même, il faut inventer autre chose.
Mais c'est un travail collectif, avec une volonté (et un investissement ) politique, des initiatives privées, et surement quelques années de transition pendant lesquelles il faut oublier le compte d'exploitation particulier de cette période, et il y a une prise de risque, de l'investissement...mais l'inaction est surement un risque bien plus grand.
Notre vallée a bien plus d'atouts que bien d'autres destinations de montagne, il faut juste arriver à fédérer, tourner la page des vieilles rivalités, être créatifs..et le vouloir.