Direction la Tête à l’Âne pour le cardio avant les grandes opérations qui vont débuter jeudi, direction la Tête à l'Âne parce que je n'y étais jamais monté, et enfin parce que3 je savais bien qui'il pourrait y avoir cerise sur le gâteau
Immense plaisir que de voir la cascade du Rouget en grande forme même si ça ressemble à la Côte d'Azur tout autour. Plaisir renouvelé à la vue de la cascade de la Pleureuse bien en eau elle aussi:
Il y a un petit air de Géorgie dans ces paysages
Les Chalets de Sales sous un rayon de soleil (qui se fait de plus en plus rare):
Eux profitent encore des nombreux névés:
Lui bombe le torse et se joue de l'air froid qui commence à arriver:
Le vallon de Sales englouti par le brouillard:
Salamanes:
Au pied de la cheminée de la Tête à l’Âne, la vue sur le col:
La cheminée, qui passe bien, rocher globalement sec et relativement sécurisant:
Bon, on n'y installerait quand même pas son bivouac hein. Et c'est évidemment à la descente que ça craint au niveau chutes de pierres...
Lac d'Anterne surplombé par quelques 600 mètres...
Crête sommitale:
Alors à la question de savoir s'il y en a aussi ici, la réponse est oui
Belle ouverture sur le Désert de Platé:
Le beau cairn sommital:
Jusqu'où mène l'arête? Il faudra revenir...
De retour au col, de magnifiques passages et encore blindé de neige dans certains coins:
Alors que j'ai un peu lutté à la montée en serrant les contreforts de la Tête à l’Âne, j'ai pris mes distances au retour pour mon plus grand bonheur: terrain ludique, humidifié par les orages, caillasse où l'on peut presque skier (et mieux que sur les nombreux névés plus très lisses qui aident quand même à gagner du temps). Du coup un peu plus bas on croirait qu'on revient d'une course glaciaire avec de petits ruisseaux partout:
Lapiaz miniatures:
Le travail de l'eau qui est partout cette année:
