Antoine Deneriaz et Sylvain Duclos aux JO
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samoens
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Antoine Deneriaz et Sylvain Duclos aux JO
Antoine Deneriaz représentera Morillon dans l'épreuve de descente homme de ski alpin et Sylvain Duclos représentera Samoëns dans l'épreuve de Snowboard-cross (le 19/02).
Je pensais qu'il allait peut-être participer au super G également, même s'il n'y excelle pas, c'est quand même un des meilleurs français de cette discipline 
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samoens
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Les affiches de soutien pour Antoine 4x3 sont présentes un peu partout dans Morillon... à Samoëns on se limite à des petits draps "allez Sylvain!!!"
Page sur Sylvain Duclos avec sa dent
http://www.extremedrinks.com/riders_fr/ ... duclos.htm
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samoens
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Voilà les JO débutent... Cérémonie d'ouverture ce soir. La délégation française vient de passer avec nos locaux (Antoine n'y est pas car la descente a lieu dimanche).
La descente masculine du ski alpin sera dimanche le premier rendez-vous majeur.
Vainqueur de trois descentes cette saison, Daron Rahlves, dernier vainqueur sur la Banchetta-Kandahar, à Sestrières, a signé jeudi le meilleur temps du premier entraînement de la descente olympique, programmée dimanche. L'Américain a devancé l'Autrichien Michael Walchhofer, le leader de la Coupe du monde de la spécialité, et un autre membre de la Wunderteam, un certain Hermann Maier. Et la belle surprise, c'est que les Français ne sont pas loin à l'image d'Antoine Dénériaz et Pierre-Emmanuel Dalcin, respectivement 5e et 6e à une seconde et demie. Un Dénériaz qui confirme là ses bonnes sensations sur cette piste: "Cette piste, je la connais et l'aime bien, elle est tout en glisse, en mouvements de terrain, sans grands angles, avec des sauts. Elle correspond bien à ce que je sais faire."
A l'issue de la première séance d'entraînement qu'il a terminée avec le cinquième temps, le Français Antoine Dénériaz s'est dit très confiant en vue de la descente des Jeux olympiques de dimanche.
"Je me suis fait énormément plaisir, c'est une piste fantastique, parfaitement préparée sur laquelle je me suis vraiment amusé aujourd'hui", a dit Dénériaz qui a abandonné une seconde et demie à la fusée américaine Daron Rahlves.
"Elle me rappelle d'autres pistes que j'affectionne - elle pourrait bien être la petite soeur de la piste de Val Gardena que j'aime tellement."
Dénériaz a remporté deux de ses trois descentes de Coupe du monde à Val Gardena.
"Ce tracé olympique comporte quelques passages de glisse intéressants mais ce sont surtout les nombreux mouvements de terrain qui me plaisent."
"Il faut énormément travailler du départ à l'arrivée pour amortir toutes ces bosses avec les jambes. J'ai d'ailleurs l'impression que les grands gabarits seront avantagés ici", a-t-il ajouté.
"Je n'ai rien contre Daron Rahlves qui a fait une belle descente aujourd'hui mais j'ai la sensation que les grands glisseurs seront particulièrement à leur aise dimanche si la neige ne change pas."
Et Dénériaz de chercher dans le passé des raisons d'espérer encore plus.
"J'ai fini huitième ici lors de la finale de la Coupe du monde de mars 2004 sans avoir réalisé un parcours particulièrement brillant, mais les conditions de course sont différentes car il fait plus froid maintenant."
DALCIN AU TAQUET
"J'ai confiance car j'ai vu à Garmisch-Partenkirchen et à Chamonix que je revenais en forme au bon moment. Ce qui est important, c'est que j'ai vraiment envie de réussir quelque chose ici. Je suis particulièrement motivé. En tout cas j'y compte bien."
"Je ne vais pas à la cérémonie d'ouverture vendredi car je prévois de faire ma propre fête dimanche soir après cette course."
Un autre Français, Pierre-Emmanuel Dalcin, a pointé le bout de sa spatule lors de ce premier test chronométré puisqu'il a fini juste derrière Dénériaz - à un centième seulement.
Dalcin, en évidence lors de la descente olympique de Salt Lake City - neuvième après s'être blessé à un genou lors de sa course - semble particulièrement motivé par les grands événements.
Il habite à une heure seulement de Sestrières, à Val-Cenis, et il compte sur le soutien de ses supporters dimanche.
"La piste me plaît bien, elle n'est pas difficile à première vue mais très exigeante sur le plan de la qualité du ski, il faudra skier propre dimanche", a-t-il expliqué.
"C'est une course sur laquelle il faudra être concentré à 100%, du début à la fin."
Deux autres séances d'entraînement sont prévues dans les prochains jours. Le test chronométré de samedi décidera de l'ordre des départs de la course de dimanche. Les favoris tenteront de partir parmi les quinze premiers.
© Reuters 2006. Tous droits réservés.
La descente masculine du ski alpin sera dimanche le premier rendez-vous majeur.
Vainqueur de trois descentes cette saison, Daron Rahlves, dernier vainqueur sur la Banchetta-Kandahar, à Sestrières, a signé jeudi le meilleur temps du premier entraînement de la descente olympique, programmée dimanche. L'Américain a devancé l'Autrichien Michael Walchhofer, le leader de la Coupe du monde de la spécialité, et un autre membre de la Wunderteam, un certain Hermann Maier. Et la belle surprise, c'est que les Français ne sont pas loin à l'image d'Antoine Dénériaz et Pierre-Emmanuel Dalcin, respectivement 5e et 6e à une seconde et demie. Un Dénériaz qui confirme là ses bonnes sensations sur cette piste: "Cette piste, je la connais et l'aime bien, elle est tout en glisse, en mouvements de terrain, sans grands angles, avec des sauts. Elle correspond bien à ce que je sais faire."
A l'issue de la première séance d'entraînement qu'il a terminée avec le cinquième temps, le Français Antoine Dénériaz s'est dit très confiant en vue de la descente des Jeux olympiques de dimanche.
"Je me suis fait énormément plaisir, c'est une piste fantastique, parfaitement préparée sur laquelle je me suis vraiment amusé aujourd'hui", a dit Dénériaz qui a abandonné une seconde et demie à la fusée américaine Daron Rahlves.
"Elle me rappelle d'autres pistes que j'affectionne - elle pourrait bien être la petite soeur de la piste de Val Gardena que j'aime tellement."
Dénériaz a remporté deux de ses trois descentes de Coupe du monde à Val Gardena.
"Ce tracé olympique comporte quelques passages de glisse intéressants mais ce sont surtout les nombreux mouvements de terrain qui me plaisent."
"Il faut énormément travailler du départ à l'arrivée pour amortir toutes ces bosses avec les jambes. J'ai d'ailleurs l'impression que les grands gabarits seront avantagés ici", a-t-il ajouté.
"Je n'ai rien contre Daron Rahlves qui a fait une belle descente aujourd'hui mais j'ai la sensation que les grands glisseurs seront particulièrement à leur aise dimanche si la neige ne change pas."
Et Dénériaz de chercher dans le passé des raisons d'espérer encore plus.
"J'ai fini huitième ici lors de la finale de la Coupe du monde de mars 2004 sans avoir réalisé un parcours particulièrement brillant, mais les conditions de course sont différentes car il fait plus froid maintenant."
DALCIN AU TAQUET
"J'ai confiance car j'ai vu à Garmisch-Partenkirchen et à Chamonix que je revenais en forme au bon moment. Ce qui est important, c'est que j'ai vraiment envie de réussir quelque chose ici. Je suis particulièrement motivé. En tout cas j'y compte bien."
"Je ne vais pas à la cérémonie d'ouverture vendredi car je prévois de faire ma propre fête dimanche soir après cette course."
Un autre Français, Pierre-Emmanuel Dalcin, a pointé le bout de sa spatule lors de ce premier test chronométré puisqu'il a fini juste derrière Dénériaz - à un centième seulement.
Dalcin, en évidence lors de la descente olympique de Salt Lake City - neuvième après s'être blessé à un genou lors de sa course - semble particulièrement motivé par les grands événements.
Il habite à une heure seulement de Sestrières, à Val-Cenis, et il compte sur le soutien de ses supporters dimanche.
"La piste me plaît bien, elle n'est pas difficile à première vue mais très exigeante sur le plan de la qualité du ski, il faudra skier propre dimanche", a-t-il expliqué.
"C'est une course sur laquelle il faudra être concentré à 100%, du début à la fin."
Deux autres séances d'entraînement sont prévues dans les prochains jours. Le test chronométré de samedi décidera de l'ordre des départs de la course de dimanche. Les favoris tenteront de partir parmi les quinze premiers.
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Eurosport - Laurent VERGNE [11/02/2006]
Plus d'infos
Le paradoxe Deneriaz
Ski alpin: Le programmeMême s'il faut évidemment attacher une importance toute relative aux résultats des entrainements, Antoine Dénériaz semble arriver en forme au moment propice. Le Français aborde la descente olympique, dimanche, avec un optimisme raisonnable, mais justifié. Impressions.
Rarement une première place aura aussi peu contenté Antoine Dénériaz. Reste à espérer que le gars de Morillon ne se soit pas installé au sommet de la feuille des temps avec 24 heures d'avance. Crédité du meilleur chrono lors de l'ultime entrainement samedi, "Tonio" n'y a pas forcément gagné au change, puisqu'il devra du coup s'élancer dimanche avec le dossard 30, en dernière position des prétendants, sur une piste qui a peu de chances de s'accélérer avec le temps.
Mais au moins est-il dans le coup. "Si les classements pouvaient se maintenir comme ça demain (NDLR: dimanche), ce serait fantastique", sourit le Français, qui estime avoir retrouvé son meilleur niveau depuis deux-trois semaines. Il regrette juste de ne pas avoir pu le démontrer sur la Verte des Houches la semaine dernière, à cause du brouillard. "Je me sens vraiment bien, comme c'était déjà le cas à Chamonix. C'est pour ça que j'étais très contrarié et frustré que cette course n'ait pas eu lieu. Je me sentais capable de réussir une bonne performance là-bas ", explique-t-il.
"Les Jeux, c'est unique"
Après un début de saison fait de hauts et de bas, le meilleur descendeur français, qui marche beaucoup au moral et aux sensations, se sent comme un poisson dans l'eau à Sestrières. La Kandahar-Banchetta lui rappelle sa piste fétiche de Van Gardena, où il s'est déjà imposé à deux reprises. " C'est bien qu'Antoine trouve des ressemblances avec Val-Gardena. Ca lui apporte de la sérénité. L'important est que chacun trouve quelque chose qui lui rappelle du positif", juge Mauro Cornaz, l'entraîneur italien du groupe France.
Et c'est vrai que cette piste a tout pour lui convenir. " C'est une belle descente. Arrosée sur certaines parties, elle devient un peu plus difficile. Je la trouve assez tournante", reprend Cornaz, qui oscille entre prudence et confiance. "Je ne vais pas chanter victoire avant la course. Ils ont respecté la consigne: faire voir ce dont ils sont capables. Mais moi, je suis convaincu que pour rester en haut, il faut être devant dès le premier entraînement. A Chamonix, c'était le même état d'esprit, mais la course n'avait pu avoir lieu", souligne-t-il.
Compte tenu de l'énorme concurrence qui règne, et au vu de ses récents résultats, Dénériaz sait qu'il ne peut toutefois être considéré comme un des grands favoris. Plus comme un simple outsider parmi d'autres. C'est presque mieux comme ça. De toute façon, le passé, récent ou non, ne comptera plus dimanche midi. "Les Jeux, c'est unique, rappelle Antoine. Une course qui n'a lieu que tous les quatre ans. Je crois que je peux faire quelque chose de spécial. Pour l'instant, tout va vraiment très bien. Je me sens concentré sur mon ski".
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Le paradoxe Deneriaz
Ski alpin: Le programmeMême s'il faut évidemment attacher une importance toute relative aux résultats des entrainements, Antoine Dénériaz semble arriver en forme au moment propice. Le Français aborde la descente olympique, dimanche, avec un optimisme raisonnable, mais justifié. Impressions.
Rarement une première place aura aussi peu contenté Antoine Dénériaz. Reste à espérer que le gars de Morillon ne se soit pas installé au sommet de la feuille des temps avec 24 heures d'avance. Crédité du meilleur chrono lors de l'ultime entrainement samedi, "Tonio" n'y a pas forcément gagné au change, puisqu'il devra du coup s'élancer dimanche avec le dossard 30, en dernière position des prétendants, sur une piste qui a peu de chances de s'accélérer avec le temps.
Mais au moins est-il dans le coup. "Si les classements pouvaient se maintenir comme ça demain (NDLR: dimanche), ce serait fantastique", sourit le Français, qui estime avoir retrouvé son meilleur niveau depuis deux-trois semaines. Il regrette juste de ne pas avoir pu le démontrer sur la Verte des Houches la semaine dernière, à cause du brouillard. "Je me sens vraiment bien, comme c'était déjà le cas à Chamonix. C'est pour ça que j'étais très contrarié et frustré que cette course n'ait pas eu lieu. Je me sentais capable de réussir une bonne performance là-bas ", explique-t-il.
"Les Jeux, c'est unique"
Après un début de saison fait de hauts et de bas, le meilleur descendeur français, qui marche beaucoup au moral et aux sensations, se sent comme un poisson dans l'eau à Sestrières. La Kandahar-Banchetta lui rappelle sa piste fétiche de Van Gardena, où il s'est déjà imposé à deux reprises. " C'est bien qu'Antoine trouve des ressemblances avec Val-Gardena. Ca lui apporte de la sérénité. L'important est que chacun trouve quelque chose qui lui rappelle du positif", juge Mauro Cornaz, l'entraîneur italien du groupe France.
Et c'est vrai que cette piste a tout pour lui convenir. " C'est une belle descente. Arrosée sur certaines parties, elle devient un peu plus difficile. Je la trouve assez tournante", reprend Cornaz, qui oscille entre prudence et confiance. "Je ne vais pas chanter victoire avant la course. Ils ont respecté la consigne: faire voir ce dont ils sont capables. Mais moi, je suis convaincu que pour rester en haut, il faut être devant dès le premier entraînement. A Chamonix, c'était le même état d'esprit, mais la course n'avait pu avoir lieu", souligne-t-il.
Compte tenu de l'énorme concurrence qui règne, et au vu de ses récents résultats, Dénériaz sait qu'il ne peut toutefois être considéré comme un des grands favoris. Plus comme un simple outsider parmi d'autres. C'est presque mieux comme ça. De toute façon, le passé, récent ou non, ne comptera plus dimanche midi. "Les Jeux, c'est unique, rappelle Antoine. Une course qui n'a lieu que tous les quatre ans. Je crois que je peux faire quelque chose de spécial. Pour l'instant, tout va vraiment très bien. Je me sens concentré sur mon ski".
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Cassée la Marielle ! 
Je m'en remets pas, je suis trop content ! Faut dire qu'Antoine, c'est le petit fils de nos anciens voisins de l'appart du dessous à Samoens ! C'est toute la vallée qui doit faire la fête !
Maintenant, tous derrière Sylvain ! Ce serait canon qu'il nous ramène aussi une médaille.
Je m'en remets pas, je suis trop content ! Faut dire qu'Antoine, c'est le petit fils de nos anciens voisins de l'appart du dessous à Samoens ! C'est toute la vallée qui doit faire la fête !
Maintenant, tous derrière Sylvain ! Ce serait canon qu'il nous ramène aussi une médaille.
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