La Montagne dans les médias, presse, vidéos, liens ...

Ici on parle montagne, et c'est aussi là que vous pouvez présenter vos sorties, également en dehors du Grand-Massif.

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Message par Matthieu » 26 oct. 2008 13:53

two up :wink:

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Message par papy pat » 26 oct. 2008 19:16

C'est bien parce que les prévisions météo sont faillibles qu'il faut des techniciens de proximité pour constamment les affiner!!
C'est la raison pour laquelle ils ont été implantés!!

Une fois de plus c'est la géographie qui détermine la présence de l'homme, la vie, pas la bureaucratie!!! :twisted: :twisted:

et une signature de plus

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Message par freerider74 » 27 oct. 2008 16:11

skals a écrit :Pour celles et ceux qui captent la Télévision Suisse Romande, il y a un doc sur le tourisme de montagne ce jeudi 23 octobre à 20h10. sur TSR1.
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSe ... TSR1&rdn=2#
On se penchera en particulier sur le cas des Marécottes, qui a perdu 30 commerces en 20 ans je crois, et sur celui d'Aminona, où des Russes souhaitent investir massivement dans le secteur hôtelier (comme à Andermatt, etc.).
voilà la vidéo : Tourisme de montagne : marche ou crève
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSe ... id=9884737

vive les marécottes, un enneigement exceptionnel, une station-village de montagne où il fait bon vivre. pas besoin de développer des rm (c'est quand même énorme d'avoir une mini combe de gers sans rm !!!), de les changer, c'est lent, mais quand on est là-bàs on s'en fout et on prend le temps. pourquoi seulement les stations qui amènent la ville à la montagne fonctionne-t-elles ? les joies du tourisme ...
mais bon, elle est sur le déclin depuis des années ... il y a donc qqchose à modifier, les gens du coin, connaisseurs et/ou randonneurs n'apportent pas assez d'argent, il faut faire venir des avions pleins pour que ça rapporte :(

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Message par skals » 27 oct. 2008 16:48

Pas forcément mais c'est clair qu'au niveau de la comm' il doit y avoir quelque chose à changer...
Et puis bon c'est quand même dans un coin bien perdu l'air de rien ;)

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Message par papy pat » 27 oct. 2008 19:20

Reportage remarquable en deux parties.
A priori en opposition totale, mais avec un peu d'attention on comprend que la première est liée et totalement solidaire de la seconde.
Et ce lien est particulièrement pernicieux, c'est la déperdition d'une première et historique forme de tourisme celui de classes moyennes accédant aux loisirs, tournées vers la nature. Quantités d'équipements sont venus soutenir cet élan, à la montagne comme à la mer pour la plus grande satisfaction de ceux qui en profitaient (avec quelques dégradations sur lesquelles ont réfléchi :cry: ).

Cette phase se termine dans la douleur. :roll:

Les quinze années écoulées auront été soutenues par la clientèle européenne mais la vague s'écrase sur la plage.
Cette clientèle moyenne qui pourrait se répartir harmonieusement en zone nature, très ou moyennement écolo, en zone très équipées hyper technique devient incapable de remplir l'offre qui continue de croître! Que dire de ceux qui n'y accèderont jamais!!!
Alors le promoteur escroc de la finance internationale, qui s'est gavé sur le dos de cette première clientèle comme sur les plus basses classes, veut combler le vide il arrive avec ses valises russes et ses soit-disants clients nouveaux riches nombreux, pour sauver la mise.
La rentabilité n'a même plus ici de logique, c'est du planquage d'argent sinistre. Celui de la sinistrose qui n'est pas une maladie de l'angoisse mais du réalisme morbide. :(
Restez tranquille, devenez pauvres gentiment l'argent sale s'occupe de tout. :twisted: L'avenir de la montagne passe par Moscou et les Iles caïman. :D

Mais attention les p'tits gars, crise aidant, vous allez voir que la cabane au fond du jardin donne sur le vide :idea: et si un sanglier la bouscule :lol:

PS. en plus Aminona n'est vraiment pas sur le bon versant, je connais bien tout le versant d'en face Nendaz Veysonnaz relié à Verbier etc...

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Message par papy pat » 28 oct. 2008 12:18

ATTENTION :D

Des racines et des ailes à la Réunion demain soir sur la 3

...pour voir le givre du petit matin, le lever de soleil et de nuages sur l'Indien, l'humanité, etc...

aussi une excellente visite sur Google maps, avec un bon bonus photos

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Message par skals » 10 nov. 2008 11:29

Un article dans Le Temps de ce week-end sur les efforts de Verbier, entre écologie et marketing.
http://www.letemps.ch/template/regions. ... cle=243649
Quand économie et écologie font bon ménage, tout va bien! Pour le reste... Des expériences se sont avérées positives, d'autres sont remises en question. De quoi réfléchir. Morceaux choisis:

"Parce qu'on ne balaie pas comme ça, en un serment, les luttes antédiluviennes avec les écolos, parce qu'on n'oublie pas non plus que Verbier, cette année encore, a accueilli fièrement le cinquième Salon suisse du 4x4 au pied de ses pâturages, on parlera plus volontiers «d'optimisation des ressources» que de «vertitude». "

"Mais la grande révolution est à venir. Elle est censée se lire, déjà, dans la valse des dameuses qui a débuté là-haut, aux Attelas. A pied d'œuvre pour tapisser des grands boulevards, les machines à chenilles avalent vingt-cinq litres de diesel à l'heure qu'elles recrachent en volutes à chaque coup de pédale. Difficile d'y voir un éco-label.
Or, ces dameuses-là, équipées d'un système GPS - développé par la jeune entreprise valaisanne Geosat - qui mesure très précisément l'épaisseur du manteau neigeux, répartiront désormais beaucoup plus judicieusement l'or blanc à disposition. Cela permettra, in fine, de minimiser la production de neige artificielle, enjeu majeur des prochaines décennies. "

"Et puis il y a l'huile bio, «qui coûte 40% de plus qu'une huile traditionnelle», mais minimise les incidences en cas de fuite sur le terrain. Il y a encore le tri des déchets dans les restaurants d'altitude, qui permet de réduire l'impact global des 300 tonnes de denrées acheminées là-haut.
Toutes les démarches ne se sont pas révélées convaincantes. La tentative de mélanger du biocarburant au diesel des dameuses, histoire de recycler l'huile des frites, s'est achevée en cul-de-sac par exemple. Le biocarburant est aujourd'hui beaucoup plus cher qu'il y a trois ans, au début de l'expérience. Et beaucoup plus controversé sur la balance écologique. "

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Message par papy pat » 10 nov. 2008 12:04

C'est tout le paradoxe :(
Certains des efforts entrepris tournent court, d'autres débouchent sur un progrès véritable.
En tout cas il faut toujours impulser, il faut des gueulards, des tireurs de sonnettes, des chieurs comme nous qui savent à l'occasion reconnaître qu'ils se sont trompés, mais qui hélas ont tellement souvent raison :x

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Message par skals » 23 déc. 2008 23:49

Aujourd'hui dans La Liberté, quotidien du canton de Fribourg: "Les limites du bulletin d'avalanches".
http://www.laliberte.ch/?contenu=article&article=411438
Je copie l'interview car je ne sais pas si le lien restera tel quel demain.

Les limites du bulletin d'avalanches
SPORTS D'HIVER &bulll; Réalisé par des spécialistes, ce précieux bulletin n'est pas la panacée pour préparer une sortie hors piste à skis ou à raquettes. Et se fier à la carte du danger ne suffit pas. Il faut aussi de l'expérience et une bonne capacité de jugement.
PROPOS RECUEILLIS PAR CHARLES MÉROZ
(photo Hofmann)

Une randonnée en montagne raquettes aux pieds, une descente à skis hors des pistes balisées peuvent à tout moment se transformer en drame si les conditions élémentaires de sécurité ne sont pas respectées. Avant de tenter le diable, il est donc vivement conseillé de prendre ses précautions, à commencer par exemple par la lecture du bulletin d'avalanches ou par la découverte de la carte du danger. Mais quelle est la meilleure manière d'interpréter et d'exploiter les informations contenues dans le bulletin? Responsable de l'antenne valaisanne de l'Institut fédéral pour l'étude de la neige et des avalanches (ENA), à Davos, le Sédunois François Dufour éclaire notre lanterne.

Peut-on réellement se fier au bulletin d'avalanches?
François Dufour: D'une manière générale, oui, mais il a des limites. Le bulletin n'est ainsi pas valable au-dessus de 2800 mètres, car nous ne disposons d'aucune information à ces altitudes. Ensuite, l'estimation du danger d'avalanches est faite pour une région et non pas pour un endroit en particulier, c'est important de le savoir. Lorsqu'on se trouve au sommet d'un couloir ou d'une pente, il faut pouvoir apprécier les conditions locales par rapport aux prévisions générales du bulletin. Il faut avoir de l'expérience et une bonne capacité de jugement, raison pour laquelle des connaissances sont demandées aux personnes qui pratiquent le hors-piste ou la randonnée. Une compréhension des termes utilisés dans le bulletin est également requise. Une pente raide débute, pour le bulletin, à 30° alors que pour un bon freerider elle débutera à 40°, voire 45°.

Le bulletin, ce n'est donc pas la panacée...
Non, mais c'est une aide importante à la prise de décision. J'ajouterais encore que connaître le degré de danger d'avalanches n'est pas suffisant en soi. Il faut également lire le texte d'explication qui accompagne le bulletin, texte largement accessible par l'internet. En cas de degré 3, par exemple, on peut être en situation très tendue, avec des avalanches spontanées possibles, directement après les chutes de neige. Alors que deux à trois jours plus tard, toujours avec le même degré 3, le manteau neigeux aura déjà pu partiellement se stabiliser. La différence sera expliquée dans le texte du bulletin.

Ce degré 3 est-il vraiment au milieu de l'échelle des risques, qui en comprend cinq?
Pour les amateurs de poudreuse, il est au sommet. En effet, déjà pour le degré 4, il est très fortement recommandé de rester sur les pistes de ski si l'on n'est pas accompagné d'un professionnel qui connaît très bien la région.

Pour le néophyte, en résumé...
Il doit savoir que 30% des accidents mortels surviennent lors d'un risque de degré 2 (danger limité). Le néophyte doit se rendre compte que la carte du danger d'avalanches est une information générale, qui n'est pas suffisante pour lui permettre de s'adonner seul au hors-piste et éviter les pièges d'un degré de danger même limité.

Comment un bulletin d'avalanches est-il conçu?
L'établissement du bulletin d'avalanches dépend d'abord de l'exactitude des prévisions météorologiques. Si ces dernières sont erronées, le bulletin sera par voie de conséquence incorrect. La marge d'erreur possible est réelle et il faut absolument en tenir compte avant de prendre la décision d'y aller ou pas. Le bulletin est élaboré à l'ENA, à Davos.

Plus concrètement, quelles sont les sources d'information des spécialistes de l'ENA?
Il y a d'abord les stations automatiques, au nombre de 80 dans les Alpes suisses et de 36 en Valais. Situées entre 2000 et 2800 mètres d'altitude, elles analysent toutes les données météorologiques possibles, soit la hauteur de la neige, la direction et la force du vent, la température de la neige et de l'air, etc. Ces mesures sont envoyées toutes les demi-heures aux prévisionnistes de Davos. L'ENA peut aussi compter sur l'apport d'une centaine de personnes dont le travail d'observation s'effectue entre 1500 et 2000 mètres d'altitude.

Et les informations du terrain?
Elles sont fournies par les guides, les chefs de sécurité et les responsables de stations. Tout cela permet aux spécialistes de l'ENA d'établir le bulletin d'avalanches national diffusé tous les jours à 18 heures. Quant aux sept bulletins régionaux, plus précis et diffusés le lendemain matin à 8 heures, ils tiennent compte de l'évolution des conditions météorologiques de la nuit. Ces bulletins sont retransmis sur internet, à la télévision et à la radio, publiés dans les journaux, et affichés au départ de la plupart des remontées mécaniques avec le degré de danger de la région concernée.

Et que contient le bulletin d'avalanches?
En résumé, il indique la situation météorologique générale, évoque l'évolution à court terme, fournit les prévisions du danger d'avalanches et se fait écho de la tendance pour les deux jours qui suivent. J'insiste sur le fait que le bulletin donne une prévision et non pas un état du danger.
Le Nouvelliste

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Message par Dom (klashkabob) » 24 janv. 2009 20:57

Emile Allais parle de Flaine et du Grand-Massif:

http://www.ledauphine.com/flaine-a-40-a ... icle=93010

Sa vision vers les enfants me parait très juste !

Par contre, il faudrait lui dire que l'on peut descendre vers Sixt depuis le gm !

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Message par Dom (klashkabob) » 27 janv. 2009 11:58


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Message par skals » 27 janv. 2009 12:57

Tu m'étonnes! La "Croisière blanche"... :roll: Y'en a déjà eu 31 de trop!

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Message par skals » 09 févr. 2009 13:15

Huhu ;)
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/d56d7fe ... 7d5231ff5e
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/d56d7fe ... 5231ff5e|1
Le même texte ci-dessous:

SKI

par Anna Lietti

Sport hautement héréditaire, il laisse les enfants d’immigrés au bas des pistes

Ça coûte affreusement cher. Ça demande des années d’apprentissage avant de devenir plaisant. Ça oblige à marcher comme des robots sur semelles rigides. Et à faire d’immenses queues pour aller aux toilettes dames dans une odeur de frites mouillées. Et à prendre sa voiture et à mettre des chaînes. Et à porter, en marchant sur des plaques de glace, un matériel plein d’arêtes métalliques qui pèse des tonnes et qui tombe tout le temps. Ça fait du bien aux pieds quand ça s’arrête, au point qu’on s’étonne à chaque fois d’avoir commencé. C’est froid, parfois très.

Quand on y pense, il est assez étonnant que le ski soit devenu un sport aussi populaire. Pour ceux qui n’en font pas, c’est carrément incompréhensible. Ils n’ont pas vécu le moment magique où toute cette lourdeur s’évapore dans le scintillement des sommets, où le robot maladroit devient papillon, où l’on plane vers la plaine, pris d’une irrésistible envie de chanter, et où tout semble facile.

Il faut avoir goûté ces instants rares pour devenir un skieur et, contrairement à ce qui se passe avec le foot ou le roller, un enfant n’y arrive pas seul. Il faut un adulte qui l’encourage, le transporte, l’initie patiemment. C’est la raison pour laquelle le ski est un sport hautement héréditaire: s’il peut exceptionnellement arriver qu’un enfant de non-skieurs s’y convertisse, dans l’écrasante majorité des cas, il se transmet de père en fils.

Lorsque j’étais à l’école, tous mes camarades skiaient. Très rarement, il arrivait qu’un élève isolé ne participe pas aux après-midi de neige. Nous en chuchotions la raison comme on parle d’un secret honteux: ce camarade ne «pouvait pas» nous accompagner, entendez que ses parents, faute de moyens, se voyaient contraints de faire porter à leur enfant le stigmate du non-skieur. Ma compassion était sans bornes.

Les choses ont changé: dans une ville comme Coire, située au cœur des Alpes, la proportion d’élèves skieurs n’est plus que de 50%, s’alarmait samedi, dans 24 heures, le vice-président des remontées mécaniques suisses. La discipline de Didier Cuche est en train de devenir un loisir pour seniors, et l’industrie de la poudreuse cherche fiévreusement des pistes pour reconquérir les jeunes.

Le problème, découvrent les experts, ce sont, comme d’habitude, les étrangers. Il se trouve que chez les Cap-Verdiens, les Kosovars ou les Portugais, le ski ne fait pas partie du bagage familial. Du coup, la proportion de skieurs à l’école a baissé à un rythme inversement proportionnel à la hausse du taux d’élèves issus de l’immigration.

Comment remédier, auprès de cette foule métissée d’écoliers, à la déficience parentale sur le front neigeux? En promouvant des héros exemplaires, suggèrent les professionnels. Des Obama du ski en quelque sorte. Un vrai challenge, comme dirait monsieur le syndic. Car il y a nettement plus de visages basanés à la Maison-Blanche que sur nos sommets immaculés.

Mais nous allons réussir, oui nous le pouvons. Ne sommes-nous pas les formidables champions de l’intégration?* Laquelle, cette fois encore, profitera à l’économie. Et les chercheurs pourront enfin affirmer sur des bases scientifiques que l’attirance pour l’odeur de frites mouillées n’est pas, contrairement aux apparences, une bizarrerie génétique liée au type caucasien.

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Message par papy pat » 09 févr. 2009 16:27

Article épatant de bout en bout.
Les statistiques sont à tempérer par la proportion plus grande de skieurs chenus, déjà vieux anciens petits skieurs (papy boom).
Quant à l'aspect portefeuille à l'évidence on ne va pas vers un progrès. :cry:
Il reste le côté culturel. Il faut donc commencer par attaquer la montagne en été, c'est tellement moins cher et çà sent moins le pipi et l'huile de friture :roll:

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Message par Matthieu » 09 févr. 2009 17:19

Il faut donc commencer par attaquer la montagne en été, c'est tellement moins cher et çà sent moins le pipi et l'huile de friture
Euh pas en haut du Colonney en tout cas, à chaque fois que j'y suis monté, une odeur nauséabonde de "solution urétique" émanait de la structure métallique :roll:

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Message par skals » 09 févr. 2009 17:53

Ai oublié de préciser que c'était dans Le Temps d'aujourd'hui, quotidien de grande qualité à l'instar de Le Courrier que j'ai déjà posté à de nombreuses reprises. Le reste, ça vaut pas (plus) un clou...
Matthieu a écrit :
Il faut donc commencer par attaquer la montagne en été, c'est tellement moins cher et çà sent moins le pipi et l'huile de friture
Euh pas en haut du Colonney en tout cas, à chaque fois que j'y suis monté, une odeur nauséabonde de "solution urétique" émanait de la structure métallique :roll:
Rien senti de tel ;)
Sinon, sur le fond, papy pat a raison (pour changer ;)).

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Re: La Montagne dans les médias, presse, vidéos, liens ...

Message par skals » 11 mars 2009 14:47

Deux articles dans Le Temps d'aujourd'hui:
-La question des guides au black autour de Cham' avec le décès de cet alpiniste (? => car héliporté...) russe sur le glacier de Salena, accompagné d'un guide slovaque qui n'avait pas la licence:
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/59ecfc4 ... ne_au_noir

-la sortie d'un film sur la conquête de la désormais mythique face nord de l'Eiger ("Face Nord" / "Nordwand"), sur fond de tragédie amoureuse et politique:
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/8d021a5 ... _politique
Excellente critique, je me réjouis!

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Message par freerider74 » 12 mars 2009 12:40

Toujours dans le Temps, à propos du dernier meeting scientifique sur le réchauffement global...
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/1f4a1c0 ... 098496d6|0

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Message par skals » 12 mars 2009 18:20

Oui alors oui, ça c'est moins "la montagne dans les médias" mais c'est découpé et dans mes petits papiers avant de savoir ce qui va émerger de cette conférence et c'est en effet terrible. Comme relevé dans le topic "Et vous, vous faites quoi pour la planète?" (rubrique "Blah blah") à nosu d'en tirer les conséquences, d'adapter nos modes de vie, de freiner nos consommations diverses, de vivre plus simplement et mieux.

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Message par papy pat » 20 mars 2009 19:57

Plaisir des yeux.
On voit souvent sur les photos prises des Alpes le petit liseré blanc des crêtes jurasiennes.
Je vous incite à aller regarder les webcams de Métabief, choisissez l'historique du 18/03 à 14 et 16h avec zoom sur le Mont Blanc, j'y étais :D . Une journée magnique, la banane, réconcilié avec mes genoux dans mon petit jardin :lol: et la vue exceptionnelle sur l'arc alpin, plus de 200 Kilomètres , je n'avais pas mon apn (la boulette)
Tout au long du Jura(et du sud des Vosges) sous des angles différents ce spectacle grandiose est offert GRATUITEMENT par beau temps 8)
N'est-ce pas Skals?

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